Les conséquences économiques et financières du changement climatique ont été sous-estimées
En 2006, le rapport dirigé par Nicolas Stern, ancien directeur de la Banque mondiale avait fait l'effet d'un coup de tonnerre en évaluant pour la première fois de manière rigoureuse et argumentée, dans une étude de 700 pages, le coût pour l'économie mondiale de l'inaction face aux bouleversements climatiques en cours : jusqu'à 5 500 milliards d'euros, soit 20 % du produit mondial brut ! Pour la première fois, une étude rigoureuse, conduite par un économiste réputé montrait que le coût de l'inaction serait bien plus important que celui de la mise en œuvre d'un plan mondial global et cohérent pour atténuer les effets du changement climatique.
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Le temps est donc venu de cesser de tergiverser car on ne négocie pas avec la nature. Nous devons prendre nos responsabilités devant l'histoire et les générations futures et faire de la transition énergétique et de la lutte contre le changement climatique le moteur de notre développement économique et de notre capacité d'innovation et la finalité politique et morale de nos sociétés.